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Histoires Des Invitées

Florence 5

Par Florence

 

scène 5 - deuxième gage : la punition

 

Dès le portail fermé, je suis prise d'une angoisse terrible : l'endroit où je pensais me mettre à l'abri de mon voisin pervers est l'endroit même où ils ont fait l'amour ici mon mari Julien et Malika ! Et sans aucun scrupule ! Et il est bientôt 18h, Julien va bientôt rentré justement ! Je regarde mes messages et voit que j'en ai reçu un de Malika : "bien passée ta fête des voisins ? tu me raconteras ! j'ai hâte de connaitre tous les détails ! Je suppose que tu es descendue encore d'un degré dans l'estime de toi-même ?" Elle me suit partout ! Elle ne me laissera jamais tranquille ! Et le pire c'est qu'elle vise juste ! C'est comme si elle connaissait exactement mon état du moment et qu'elle appuyait sadiquement là où ça fait mal ! Et un autre sms de Julien :"Je vais rentrer tard ce soir, m'attend pas avant 21h". Le message est sec et me claque à la figure ! Je commence à m'imaginer qu'ils sont peut-être encore ensemble. Mon estomac se noue, j'ai besoin de me laver, de ne plus penser à tout ça, d'avoir un moment de répit. Mais je remarque un autre sms : "nous avons essayé de vous joindre plusieurs fois sans succès, appelez nous avant 18h sinon votre numéro pourrait vite se retrouver sur les réseaux sociaux !" Oh ! C'est le post it laissé sur ma voiture, je l'avais oublié celui-là ! Et j'ai juste le temps de rappeler pour éviter le pire. Je fais donc le numéro la peur au ventre... me demandant encore une fois sur quel pervers je vais tomber, et en plus ils seraient plusieurs ?

    - Allo ?

    - Oui allo, une voix d'homme me répond.

    - Heu bonsoir, c'est moi, heu vous savez, heu la femme qui... enfin vous avez essayer de me joindre plusieurs fois cet après-midi.

    - Oui en effet. La voix se fait autoritaire. Venez vous expliquer sur cette affaire à 18h30 au 30 rue de la Libération. Et soyez ponctuelle.

Le message est bref et ne présage rien de bon sur mon sort ! Me voilà de nouveau entraînée dans un cycle infernal. J'ai juste le temps de prendre une douche, de changer ma robe dont l'odeur devient franchement nauséabonde puis je mets une nouvelle robe de printemps assez classique qui m'arrive à mi-cuisses et un nouveau string bien sûr ! A 18h30 j'arrive au numéro 30. C'est une maison de ville qui a l'air assez vieillotte ; je sonne à la porte. Un homme vient m'ouvrir. Je suis un peu surprise ; il est un âgé, environ la soixantaine, l'air austère, pas de mot d'accueil si ce n'est :

    - Oui entrez, nous vous attendions !

Je le suis anxieuse dans un couloir sombre puis j'arrive dans le salon où son épouse est assise sur un canapé. Ils ont tous deux l'air vieux, plus à la mode depuis longtemps et austères, le visage dur. Je suis impressionnée d'autant plus que je ne suis pas en position de force. L'homme reprend la parole :

    - Restez debout, nous allons descendre à la cave, enfin si nous tombons d'accord.

    - Heu c'est-à-dire ? sur quoi ? dis-je inquiète.

    - C'est très simple. Nous n'avons pas l'intention de voir notre quartier envahie par des salopes qui sont prêtes à coucher avec n'importe qui. C'est un quartier respectable ici où nous vivons depuis 40 ans !

    - Heu oui oui bien sûr. Je bredouille et ma voix tremblote, je me sens encore une fois démunie, sans défense vis-à-vis de tout ce qui m'arrive.

    - Alors voilà, nous avons le devoir de vous administrer une correction pour vous dissuader de recommencer ces provocations. En cas de refus, nous diffusons votre numéro et votre adresse sur des sites de rencontres, et de préférence pas les mieux famés !

    - Oh non ne faites pas ça je vous en prie !

    - Dans ce cas, je vous en prie, la porte de la cave est par là, nous vous suivons !

L'escalier est étroit et sombre et humide. Je descends prudemment avec mes talons qui me rendent maladroite et j'arrive dans une cave allumée par une ampoule nue au plafond. Des tuyaux et je remarque une corde accrochée à un crochet au plafond et qui descend en plein milieu de la pièce. Je n'ai pas le temps de poser la moindre question que l'homme, qui m'a suivie dans l'escalier avec sa femme, m'agrippe les poignets puis avec une corde me les lie entre eux. Ensuite il me pousse au milieu de la pièce et m'oblige à lever les bras en l'air.

    - Oh je vous en prie, c'était juste un jeu stupide ! Ne m'attachez pas !

    - C'est un peu tard pour regretter ! En tous cas on va vous faire passer l'envie de recommencer !

Et sur ce, il m'attache les poignets à la corde qui pend du plafond de sorte qu'en tirant la corde vers le bas mes bras s'étirent en l'air.

    - Aïe vous me faites mal !

La femme ricane :

    - Tu n'as pas fini d'avoir mal !

Puis l'homme me dit de retirer mes escarpins ce que je fais aussitôt et il tire au maximum sur la corde. J'ai mes bras qui se resserrent juste derrière ma tête qui se retrouve coincée entre les deux. et je suis rapidement obligée de me mettre sur la pointe des pieds. Je sens mes quatre membres étirés au maximum et j'ai le souffle court la tête ainsi serrée. L'homme dit :

    - Tu veux commencer Christine ?

    - Oui avec plaisir puis je te passerai la main !

La femme prend alors un long bout de bambou tout sec et me le présente devant mon visage.

    - Tu as péché et tu dois être punie. Allez, tourne toi !

Je suis tombée chez des rigoristes de l'ordre moral ! Ils vont me faire payer tout ça alors que c'est moi la victime. Mais je n'imagine même pas leur expliquer tout ça, ils ne me croiront jamais ! J'obéis et me tourne dos à elle. Et là dessus elle remonte ma robe sur mes hanches et fais un noeud au niveau de mes hanches de manière à avoir mes fesses bien offertes avec juste mon string pour protéger mon entrecuisse.

    - Le fait que tu sois bien suspendue tend tes muscles au maximum et la douleur sera décuplée ! dit la femme avec un air sadique.

Là dessus l'homme tire encore un peu la corde, je suis vraiment maintenant sur la pointe des pieds et en effet je sens mes fessiers qui sont tendus au maximum ! La femme se met alors sur le côté et me dis :

    - Allez, 10 coups pour te mettre en jambes...

    - Ou en cuisses ! lui répond son mari ce qui a pour effet de les faire rire, sans pitié pour moi.

Le premier coup est violent et cingle mes fesses tendues !

    - AaaaïïÎeee !

J'ai à peine le temps de sentir la douleur que le deuxième coup tombe tout aussi fort. Je crie, mon corps est tendu à l'extrême, je sens la douleur vive d'abord sur mes fesses puis qui s'étend à tout mon corps.

    - Tu es punie par où tu as péché ! dit l'homme qui est face à moi et qui encourage sa femme.

    - Tu peux crier, le sous-sol est très bien isolé, personne ne t'entendra ! rajoute sa femme.

Et le 3ème coup tombe juste au-dessus de mes cuisses. Elle vise de manière à ce que tout mon postérieur soit marqué ! Chaque coup me provoque une nouvelle douleur alors même que la douleur des coups précédents n'est pas encore passée mais au contraire se diffuse dans mon corps. Je sens mes fesses qui sont meurtries, qui me chauffent, qui me brûlent ! Au coup suivant mon visage se tord de douleur ; je perds toute défense et me lâche, j'ai la bouche ouverte au maximum, je sens que me me bave dessus ! C'est insupportable d'autant plus que l'homme regarde précisément mon visage et évalue la douleur que je subis comme un scientifique qui observerait une expérience sur un rat de laboratoire.

    - Vas-y plus fort dit-il à sa femme, elle souffre pas assez !

Et les coups de bambous pleuvent sur mes fesses puis mes cuisses. Mon corps est pris de soubresauts à chaque coups comme si j'étais électrifiée ! Enfin j'entends le chiffre dix. Les coups s'arrêtent, je suis sonnée, mon corps ballottant, mes fesses en feu ! Mais le répit est de courte durée. L'homme prend sur un banc une raquette de ping-pong qu'il caresse devant mon visage.

    - Tu vois, là, la douleur sera différente, moins cinglante mais plus puissante !

C'est un sadique ! Il me dit ça en me regardant perversement puis prend le relais de sa femme. En effet je sens passer le premier coup qui écrase ma fesse gauche puis aussitôt un deuxième coup sur ma fesse droite. Je pousse un râle animal sous la douleur. Je serre mes fesses en désespoir de cause mais le coup suivant s'abat et la douleur est encore plus vive. Je n'ai pas d'échappatoire que de subir leur perversité comme j'ai subis une montagne de perversités depuis ce matin ! L'homme s'arrête au 3ème coup et dit à sa femme :

    - Mets lui les pinces là où elle pèche et là où ça fait mal !

Et la femme prend des pinces à papier de bureau sur le banc et s'agenouille face à moi. Je n'ose pas bouger, elle me descend violemment mon string et me l'enlève puis écarte un peu mes cuisses et pose une pince sur une de mes lèvres intimes.

    - Aaaaïïïeee !

J'ai les larmes qui coulent sur mes joues sous la douleur.

    - Pitié ! Je ne le referai plus !

    - Pas de pitié pour les pécheresses dit méchamment la femme tout en me fixant l'autre pince sur l'autre lèvres. J'ai la peau pincée. Les deux douleurs derrière et devant se répondent et se démultiplient !

Et aussitôt les coups de raquettes reprennent sur mes cuisses, mes fesses. J'ai le bas du corps en feu. Je manque de m'évanouir mais j'entends de nouveau le chiffre dix qui arrête mon martyr.

    - Elle a son compte dit la femme !

    - Attends on va quand même s'assurer qu'elle ne recommencera pas !

Et l'homme descend un peu la corde du plafond ce qui me fait remettre les pieds à plat sur le sol. Mais le répit est là aussi de courte durée. Il m'oblige à écarter les cuisses et m'attache les chevilles de chaque côté à un crochet fixé sur chacun des murs opposés. Me voilà offerte, sans défense et dans une position obscène ! Puis l'homme revient avec un bougeoir qu'il installe au sol juste au dessous de mon entrecuisses. Il allume ensuite la bougie.

    - Oh non, pas çà ! Je vous promets que je le referai plus !

    - C'est justement pour être sûrs que tu ne le refera plus qu'on fait ça !

Je sens rapidement la tiédeur qui monte le long de mes cuisses, puis tiédeur qui devient chaleur ! J'essaie de bouger mon corps pour éviter la douleur mais mes chevilles sont solidement attachées et m'empêchent toute défense. Puis le couple prend le banc et le met juste face à moi pour s'asseoir dessus. Ces deux sadiques vont me regarder souffrir sans rien faire !

    - Pitié, c'est chaud, ça me brûle !

Je sens en effet la peau de mes fesses rougies, déjà brûlante sous les coups, qui prend pleinement la chaleur maintenant puis progressivement ce sont les pinces en métal qui chauffent et transmettent la chaleur à mes lèvres intimes. J'ai rapidement les lèvres en feu. Je tortille mon corps mais sans pouvoir échapper à la chaleur de la flamme. Je transpire à grosses gouttes qui se mélangent aux larmes et inondent mon visage. Je cherche l'air, je respire fort et halète pour mieux supporter la douleur. Je dois avoir l'air d'une petite chienne, mais peu importe. Mais quand je vois dans le regard pervers et satisfait de mes deux voyeurs que ça leur fait plaisir de me voir souffrir j'implore leur pitié mais ils n'en ont que faire, regardant ce spectacle comme si c'était une partie de cartes...A un moment de paroxysme de la douleur je crie :

    - Malika pitié ! je ferai tout pour toi, je serai ta chienne esclave, je te lécherai les bottes tous les matins et mangerait à tes pieds dans une gamelle !

Je vois bien que mes bourreaux ne comprennent rien à ce que je dis mais je vois l'homme se lever et s'approcher de moi, écraser la bougie sur le sol pour l'éteindre et dire :

    - Je crois que notre voisine commence à comprendre ma leçon.

Et il me détache les poignets de la corde accrochée au crochet du plafond puis il me fait passer mes poignets toujours liés entre eux dans le dos. Mais sa femme le relance :

    - J'aimerais bien voir ses joues aussi rouges que ses fesses ! Tu pourrais me faire ce plaisir ?

Et alors que je suis devant lui chevilles attachées cuisses écartées et poignets liés dans le dos, il enlève d'un coup les deux pinces de mes lèvres ce qui me fait hurler de douleur. Puis sans me laisser reprendre mon souffle, je reçois une paire de gifles sans pouvoir me défendre. Puis il me claque les joues sans discontinuité pour les mettre en feu. Ma tête ballotte à droite et à gauche suivant les coups reçus. Je n'en peux plus, je suis prête à m'abandonner, giflée comme une gamine, humiliée devant eux deux qui prennent plaisir à ça ! Puis l'homme dit :

    - Allez Christine, prépare là pour son chemin de retour !

Christine prend alors un grand ciseau et passe derrière moi ; elle redescend ma robe sur mes fesses rouges et découpe consciencieusement un carré dans ma robe qui suit juste le contour de mes fesses. Je me retrouve avec un pan de ma robe devant, et derrière mes fesses à l'air. Et quelles fesses ! Elles sont brûlantes et rouges comme des tomates !

    - Oh non que faites vous ? Je vais pas pouvoir rentrer comme ça ?

    - Ben c'est à dire que tu n'as pas le choix ! Mais c'est vrai que comme ça tout le monde pourra voir ce qu'on fait aux salopes de ton genre dans le quartier !

Et sur ce, je sens sa femme qui me prend une partie de mes chairs de la fesse droite avec sa main et la comprime et tout à coup je sens qu'elle coince cetet chair entre ses dents et me mords violemment. Je hurle ! J'ai mes fesses déjà meurtries qui sont mordues presque jusqu'au sang ! C'est la maison des supplices ! Satisfaite de m'avoir poussée à bout, elle me dit :

    - Voilà tu porteras ma marque personnelle pendant quelques jours pour bien te rappeler de cette petite séance...

Puis l'homme me détache les poignets et les chevilles en me disant :

    - Allez on veux plus te voir, tu rentres chez toi illico ou on te lâche le chien et là je te promets que tu auras les fesses en sang !

Sans demander mon reste, je remets prestement mes escarpins et remonte l'escalier puis sort de cette maison des tortures. Un regard pour m'assurer que personne ne passe et plaquant mes mains sur mes fesses que je sens brûlantes, je m'engouffre dans la rue en me disant que je dois tenir 500 m comme ça les mains couvrant tant bien que mal mes fesses rouges. C'est le peu de dignité qu'il me reste. Mais le pire c'est que plus j'approche de chez moi, plus je m'éloigne de mes bourreaux mais plus je risque de croiser une connaissance... Cela survient rapidement. J'en suis à environ la moitié de mon parcours quand je vois arriver en face Alain, un de mes proches voisins. Un homme distingué, en cravate et revenant de chercher du pain de la boulangerie. J'essaie de contenir mon angoisse mais je ne peux maintenir mes mains sur mes fesses, il va se douter de quelque chose ! Au même moment je dépasse un homme, la cinquantaine, qui descend de sa voiture qu'il vient de garer sur le trottoir d'en face et horreur ! il semble aller dans la même direction que moi ! Me voilà prise entre deux feux ! Soit je reste avec mes mains sur mes fesses et mon voisin va forcément se retourner en me dépassant, soit je laisse mes fesses rouges à l'air montrant toute l'ampleur de ma condition de femme punie honteusement ! Au dernier moment, alors que mon voisin est prêt de me croiser, je remets mes mains devant mon corps mais je devine sa surprise.

    - Dites donc vous avez pris des coups de soleil aujourd'hui Florence, malgré ce temps maussade !

    - Heu oui un peu en effet Alain, à bientôt !

Et je le dépasse morte de honte. Eh oui je dois avoir aussi le visage écarlate ! Je sais bien que je n'ai pas fait illusion. Mais j'espère par dessus tout qu'il ne se retournera pas ! Mon coeur bat à toute vitesse mais vite, j'arrive près de mon portail. Et juste au moment où je m'apprête à rentrer, et alors que je suis obligée de chercher dans mon sac à main mes clés, je sens une main ferme se plaquer sur mes fesses. Je sursaute ! Oh c'est l'homme de la voiture que je n'ai pas entendu arriver derrière moi. Et il me glisse à l'oreille :

    - Quel joli cul Madame ! Et visiblement vous aimez qu'on le claque ! Rentrons donc un moment que je vous montre comment je vais m'en occuper !

    - Oh non Monsieur, je vous en prie, vous faites erreur !

    - Allons, je suis sûr que vous aimez ça !

Et je reçois une nouvelle claque sur mes fesses !

    - Une autre fois Monsieur, je vous en prie je vous promets !

    - Bon je n'insiste pas pour cette fois, mais comme je sais où vous habitez je viendrai vous rendre une petite visite de courtoisie un de ces jours...

    - Oui un autre jour, merci et bonsoir !

Ouf j'ai pu m'en débarrasser mais je crains de m'être mis de nouveau dans de beaux draps et de n'avoir que repousser le problème. En tous cas, l'important à ce moment là est que je rentre chez moi et je claque le portail pour me retrouver à l'abri.

 

Florence 6

 

 

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